L’exosquelette entre timidement dans l’usine

Alors que les industriels doivent de plus en plus prendre en considération les risques encourus par leurs salariés en termes de souffrance au travail ou d’apparition de troubles musculosquelettiques (TMS), la solution des exosquelettes passifs ou actifs se fait de plus en plus intéressante. Pour accompagner les opérateurs dans certaines de leurs tâches et dans différentes positions, les exosquelettes ont, ces dernières années, fortement gagné en manœuvrabilité, en fluidité des mouvements, en ergonomie, en facilité d’enfilage, et en fonction d’estime. Alors que l’INRS s’est penchée sur les points de vigilance à considérer lorsque l’on conçoit un exosquelette, l’article cite un certain nombre d’acteurs qui développent de tels appareils dont les prix ont globalement été divisés par trois en cinq ans : le CEA List, Gobio Robot, RB3D, BMR, Ortaer, Comau, Ekso Bionics, Levitate, Skelex ou Labeo. Selon le cabinet d’intelligence stratégique ABI Research, le marché annuel pourrait atteindre quelque 100 000 appareils en 2025. Ce marché pèserait alors 1,8 milliard $ en 2025, contre 68 millions en 2014.

 

Serveur web : https://www.lesechos.fr/pme-regions/actualite-pme/0301766936947-les-exosquelettes-entrent-timidement-dans-les-usines-2181787.php

Date : 06/2018

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